Pourquoi Mixity in the city ?
Pourquoi Mixity in the city ?
Vous avez dit Mixity ?
Tout part d’une évidence : « Homme et femme il les créa » (Génèse 1,27) – n’en déplaise à
la théorie du genre – et d’un constat : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul » (Génèse 2,18).
Déjà pour Adam et Eve tout semblait simple, mais tout
s’avéra compliqué !
Pourtant quelle chance de cohabiter dans ce cadre bucolique
de l’Eden où tout le nécessaire était donné en offre illimité pour peu que l’on
respecte les clauses du contrat, surtout celle du fruit hors forfait.
L’oisiveté et la nudité comme nature première !
Alors pourquoi in the
city ?
Autres temps autres meurs : hommes et femmes ne vivent
plus dénudés en pleine nature florissante.
Plus dénudés dite-vous ? N’auriez-vous pas vu les affiches des publicités dans les couloirs
du métro ? Sur les bus ? A la télévision ?
Oui c’est bien cela : du tout- gratuit on est passés au
tout -consommable contre rétribution !
Même la personne n’échappe pas à cette mutation citadine
contemporaine. Du moins le croit-on.
On en arrive bien à la thématique Mixity in the city où la relation d’homme à femme ne va pas
toujours de soit, surtout en vue d’une exclusivité que l’on nomme couple !
L’analyse transactionnelle voit dans le « commerce amoureux » les
mêmes règles que dans tout autre échange de la vie courante..
Voilà donc l’objet de ce blog nourri de témoignages, de
confidences reçues et de réflexions des uns et des autres ; certainement les miennes. Pourquoi pas les vôtres ?
Et oui…. L’Eden….
RépondreSupprimerPourtant, si l’on se réfère à l’Ecriture, c’est déjà là que la disharmonie au sein du couple est née :
« Tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi » - Ge.3 :16
Et si l’on veut constater la place de la femme dans le monde d’aujourd’hui - femmes esclaves, femmes objets, toujours servantes, sous-payées – on constate l’étendue et la véracité de ce verset.
Mais pour aller plus loin, penchons nous alors sur la lettre de l’apôtre Paul aux Ephésiens, ch.5 :22 et 28 :
« Femmes, que chacune soit soumise à son mari, comme au Seigneur ».
Aie… ça ne passe pas ça… parce qu’on néglige d’aller plus loin :
« Maris, que chacun aime sa femme comme Christ a aimé l’église et s’est livré lui-même pour elle (….) C’est ainsi que le mari doit aimer sa femme comme son propre corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même. Car jamais personne n’a haï sa propre chair, mais il la nourrit et en prend soins, comme Christ le fait pour l’Eglise (…).
Le voilà, l’équilibre parfait : la femme respecte son conjoint, et celui-ci est au service de son épouse….
Et là, mon expérience personnelle de vie de couple m’arrache cette question :
Où sont les hommes pour prendre leurs responsabilités dans la vie familiale ? Ont-ils démissionné ? Ont-ils peur des femmes ?
Car évidement, celles-ci ont du faire face. Elles sont si souvent seules à devoir assurer le rôle de chef de famille, de rapporter à celle-ci de quoi subsister, à devoir exercer seules l’autorité masculine… et à rester femme…
Alors on peut comprendre que la gent masculine soit déboussolée… mais pas très courageuse pour s’engager à reprendre positivement son rôle.
Et tout cela a pour conséquence un grand danger : la dislocation de la cellule familiale, pilier de base d’une société stable et équilibrée.
Finalement, les valeurs après lesquelles on nous demande d’adhérer : individualisme, orgueil de soi et de sa position ou de son apparence, sont à l’opposé de ce qui peut construire une relation heureuse : générosité et don de soi-, vouloir le bien de l’autre, simplement… dans l’humilité et à deux ! Simple non ?
Kyria
Et oui…. L’Eden….
RépondreSupprimerPourtant, si l’on se réfère à l’Ecriture, c’est déjà là que la disharmonie au sein du couple est née :
« Tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi » - Ge.3 :16
Et si l’on veut constater la place de la femme dans le monde d’aujourd’hui - femmes esclaves, femmes objets, toujours servantes, sous-payées – on constate l’étendue et la véracité de ce verset.
Mais pour aller plus loin, penchons nous alors sur la lettre de l’apôtre Paul aux Ephésiens, ch.5 :22 et 28 :
« Femmes, que chacune soit soumise à son mari, comme au Seigneur ».
Aie… ça ne passe pas ça… parce qu’on néglige d’aller plus loin :
« Maris, que chacun aime sa femme comme Christ a aimé l’église et s’est livré lui-même pour elle (….) C’est ainsi que le mari doit aimer sa femme comme son propre corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même. Car jamais personne n’a haï sa propre chair, mais il la nourrit et en prend soins, comme Christ le fait pour l’Eglise (…).
Le voilà, l’équilibre parfait : la femme respecte son conjoint, et celui-ci est au service de son épouse….
Et là, mon expérience personnelle de vie de couple m’arrache cette question :
Où sont les hommes pour prendre leurs responsabilités dans la vie familiale ? Ont-ils démissionné ? Ont-ils peur des femmes ?
Car évidement, celles-ci ont du faire face. Elles sont si souvent seules à devoir assurer le rôle de chef de famille, de rapporter à celle-ci de quoi subsister, à devoir exercer seules l’autorité masculine… et à rester femme…
Alors on peut comprendre que la gent masculine soit déboussolée… mais pas très courageuse pour s’engager à reprendre positivement son rôle.
Et tout cela a pour conséquence un grand danger : la dislocation de la cellule familiale, pilier de base d’une société stable et équilibrée.
Finalement, les valeurs après lesquelles on nous demande d’adhérer : individualisme, orgueil de soi et de sa position ou de son apparence, sont à l’opposé de ce qui peut construire une relation heureuse : générosité et don de soi-, vouloir le bien de l’autre, simplement… dans l’humilité et à deux ! Simple non ?
Kyria
En effet, l'équilibre proposé par les saintes écritures me semble garant du bonheur conjugal.
SupprimerL'amour et ce qui est proposé par les saintes écritures me semble en effet la meilleure solution
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